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MARSEILLE - Mamiekéké et Cricri d' amour vous souhaitent un JOYEUX NOËL .
COUCOU LES AMIS ET AMIES .
Parce que nous ne pourrons pas être parmi chacun de vous pour Noël nous venons vous souhaiter de passer cette fête familiale avec les vôtres , soyez heureux , profitez en bien , la famille c' est merveilleux , un vrai cadeau du ciel quand on sait l' apprécier .
Nos petits amis animaux y participeront eux aussi à cette belle fête , l' Enfant Jésus n' était il pas entouré de tout ce qu' il y avait de beau et bon , à quatre pattes et à deux pattes ha ha ha ....
Nous espérons que vous serez couverts de cadeaux , ho pas forcément des cadeaux futiles mais aussi utiles et beaux en même temps , c' est encore mieux ça ha ha ha .
Je vous offre pour le prix d' un seul deux sapins de Noël ainsi je suis sûre que vous penserez à nous ce jour là ha ha ha , allez je rigole ha ha ha .
Gros gros bisous marseillais de NOËL et à très bientôt pour le nouvel an car lui je ne vais pas le manquer avec vous .
A très vite votre Renée (mamiekéké) et son Christian (cricri d' amour) qui vous aime toujours très fort .
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Tags : Noël, animaux
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Commentaires
Bonjour chère Renée j´en profite beaucoup de ton blog.
Tes articles sont très agréables et les images que tu mis sont délicieuses.
Je vous souhaitez bonne fêtes en famille, tout près de ton cher Dimitri et ta belle fille.
Bien sûr ma pensée pour ton cricri d´amour, le charmant Cricri.
 très bientòt!!!!!!!!
Meriboot
5NadetteSamedi 19 Décembre 2015 à 20:36Joyeux Noél à vous aussi
les cadeaux ce n'est pas le plus important
le fait est de se retrouvèrent ensemble
bisous Nadette
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Samedi 19 Décembre 2015 à 23:38
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9LouiseDimanche 20 Décembre 2015 à 00:14Bonsoir Renée, merci pour tes beaux souhaits ainsi que tes belles images.
Je mettrais bien une image à mon tour sauf que je ne sais pas comment faire.
Douce nuit à toi & ton Cricri.
Grosses bises du Québec
Louise
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Dimanche 20 Décembre 2015 à 00:23
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12mamitaDimanche 20 Décembre 2015 à 06:20suis toujours là mais comme je te vois su FB je passe presque plus sur les blogsbisou bon dimanche et bon Noël
Bonjour et bon noël à vous aussi . .le papi , la mamie , la fifille, le pitchou etc.. Le chat ?
Nous allons à Mont de Marsan aujourd'hui pour manger avec les enfants . Nous coupons la route en deux et nous ramènerons la petite avec nous. Ensuite les grands viendront pour le repas jeudi soir . Notre fils travaille jeudi .. Ils viendront par l'autoroute de Pau " la A 65 " l'autoroute Pau Bordeaux à 25€ eh eh eh ..
Joyeux Noël à tous
jm
14anne-marieDimanche 20 Décembre 2015 à 07:58Merci pour vos souhaits. Nous vous souhaitons aussi de bonnes fêtes de fin d'année en famille c'est le plus beau des cadeaux. Bonne route a vous deux. Bisous a vous quatre
JOYEUX NOËL
Voilà, ça c'est fait, bon, heureux et joyeux Noël, attention les petits enfants doivent être sages ! Dimitri a-t-il réussi le défi que lui a lancé Raymond, le plus grand des trésors ?
Tant pis pour lui s'il a abandonné et surtout tant mieux pour lui s'il a trouvé.
A-t-il posé la question à son prof de français ?
Profitez encore de ce Noël bordelais en famille .
GROS
GROS
BISOUS ET EN ROUTE POUR 2016
merci beaucoup et joyeux Noel à vous-
je me suis abonnée pour te suivre-
bisous amicaux ! à bientôt !Bonjour Renée, je passe assez vite te souhaiter un très bon Noël. Je t'informe aussi que j'ai changer de blog, je suis là dès maintenant https://envie2blog.wordpress.com/ mais je suis en pause jusqu'au 28 décembre quand même. Te souhaite bonne fin de journée. Bises amicales
bravo pour ces superbes images de Noel, et ces bons souhaits, j'espère que vous aurez de bonnes fêtes de fin d'année, je vous souhaite un Joyeux Noel, à Bordeaux sans doute, à bientot, grosses bises
Bonsoir chère Renée,
Merci pour ton joli et tendre billet pour Noël.
A mon tour de souhaiter à tous deux un joyeux Noël
avec une corbeille remplie de petits bonheurs.
Gros bisous ♥
24danielle1943Dimanche 20 Décembre 2015 à 22:18Bonsoir Renée
merci de ce blog toujours dans la joie c est mieux et là de ces images et commentaires je voulais te souhaiter une excellente soirée de ce Dimanche passe un bon réveillon de Noel en Famille et profiter de vous tous important je repasserai te souhaiter en tan voulu te présenter mes bons vœux bisous DANNNNNNNNNN
Kikou Renée, kikou Cricri
Merci de votre commentaire c'est gentil.
Je vous souhaite de passer un très bonne noël avec votre famille, profitez en bien !
Toute mon amitié
Bisous
@lain
J'adore la première photo...ils sont trop mignons ces petits bouts de chou ! ça fait bien ancienne carte de Noël !
Joyeux Noël !
Gilbert
Nous vous souhaitons un bon jeudi, un super réveillon de NOËL et un Joyeux NOËL a vous quatre. Gros bisous
BON NOEL
Cara amiga, Car amic, Mamikeke, Cricri
Une année s'achève avec cette période des fêtes en famille (lou temp de Calèna) et vous êtes toujours fidèles à mon site. Je tiens à vous en remercier, car, sans vous, je n’aurai pas pu progresser et être motiver comme je l’ai fait. Que de chemin parcouru depuis la création du site « Free Riders du 06 » avec tous les évènements que je vous ai fait découvrir. Les Promenades à travers le Pays Niçois... de la Préhistoire à nos jours, les balades dans mes vallées de la Countéa de Nissa. je peux vous annoncer que l’année 2016 verra le 10e anniversaire de mon blog. Pour l'heure, il me reste à vous présenter les vœux de mon site et les miens: "Bouòni Calèna e à l'an que ven »
VOICI POUR VOUS UN CONTE DE NOEL
Veillées dans nos vallées du pays niçois» (Vèiada en lou nouòstri valada dou pais nissart)
C’était un de ces pays de montagne, adossé à mi- pente, au fin fond d’une vallée, sur une terre ingrate, une sorte d’ilot au milieu d’éboulis secs et de de roubines noires. Un petit hameau, auquel aucun Saint n’avait donné son nom, on en avait gardé le nom du lieu dit : « Despera » (*1)
Personne n’osait trop s’aventurer vers là haut, on disait que les habitants étaient méchants comme la teigne et laids comme des boucs.
On disait que l’hiver, il y gelait à pierre fendre. Que la terre y était trop dure pour y creuser le sol et que quand quelqu’un y mourrait, on le hissait en haut d’un arbre, parce que congelé, ni les corbeaux, ni les renards n’iraient en emporter des bouts.
On disait qu’ils ne ressortaient de leurs tannes, fin avril sentant le rance et l’urine, le visage noir de suie, les ongles comme des griffes, et qu’ils se livraient alors à un rite particulier, ils se lavaient tous les uns avec les autres dans le lavoir et ensuite dansaient mi- nu autour d’un feu dans lequel ils brûlaient leurs vêtements et leurs paillasses pleines de vermine.
On disait aussi, qu’ils étaient plus ou moins tous cousins consanguins par là-haut, à force de dormir l’hiver sur la même paillasse et sous les mêmes peaux de mouton
Et on disait…Et on disait…
Et on disait, le soir, autour du feu pour se donner le frison de la peur.
Il y avait une chapelle à Despera, mais le curé du canton n’y montait plus sinon pour la messe des morts, et relever le registre des naissances et des mariages « civils », souvent raturé que tenait un « Desperadois » qui savait tout juste écrire.
Pour cela, ce brave curé, se tapait quatre heures de marche par un mauvais chemin.
Il se faisait escorter par le bedeau et son frère armé d’un solide gourdin, car la fois où il était monté tout seul, il avait trouvé, des cochons et des poules dans l’église. Voulant mettre dehors tout ce petit monde et en trouver les propriétaires pour leur faire nettoyer les lieux, il fut violemment conspué.`
Bref, des sauvages et des barbares dégénérés, que l’on évitait soigneusement.
Il se passa, néanmoins, un heureux évènement cette année là, en Novembre, madame Ginola pour l’état civil, mit au monde son onzième enfant. C’était une fille, avait dit la mère Gobi, qui faisait office de sage-femme et d’accoucheuse pour les vaches. Elle l’empaqueta dans des linges plutôt propres et la remit à sa mère. Celle ci la regarda , et fut rapidement séduite par les grands yeux déjà ouverts et l’esquisse d’un sourire ; le père arriva un peu plus tard, et y jeta un coup d’œil discret, il faut dire qu’ayant sacrément arrosé le temps de la couvade (*2) , il s’affala saoul sur l’autre moitié de la paillasse et se mit à ronfler.
C’est le lendemain en démaillotant la petite, qu’on se rendit compte. Elle était bossue, n’avait qu’une moitié d’oreille velue et pointue, une main à quatre doigt, une grosse bosse sur l’arrière du crane, un bras plus court que l’autre et un pied bot.
La femme appela son mari pour lui montrer la chose : « T’as vu ce qui m’est sortie, qu’est ce qu’on va en faire, ce sera une bouche inutile . Elle rapportera jamais rien, il va falloir faire comme avec les autres. »
Le soir, le père, prit le bébé, et monta au fenil, là où sont accroché les jambons et les poitrines salées, là ou souffle le courant d’air froid qui raffermit les salaisons. Il y déposa l’enfant.
– « Va que si elle survit au froid, un coup de mal de poitrine, l’emportera bien dans les jours qui viennent. » Et il repartit…
Quel ange dans la nuit à la lueur d’une lanterne à bougie, donna un peu de lait d’ânesse à l’enfant, la recouvrit de flanelle, et posa un crucifix sur sa couche, nul ne le saura jamais.
Le lendemain matin, le père remonta, le bébé était toujours vivant et semblait en forme. Il écouta sa respiration, non elle était normale. Il ramassa le paquet et le redescendit à la mère.
– « Je ne comprend pas, ce qui s’est passé. Elle n’aurait pas du… »
– « La mère lui répondit, forcément tu l’a emmailloté dans de la flanelle, imbécile, il va falloir tout recommencer… »
Elle défit la flanelle et le crucifix tomba, elle se signa et dit au mari : « Prend un vieux bout de drap , trempe le dans l’eau, emmaillote là dedans et va la remettre là haut, s’il gèle, elle y passera. »
– Non ! Non ! j’ai vu le crucifix tomber, si quelqu’un l’a baptisée durant la nuit, je finirai aux enfers. C’est un signe de Dieu, il ne faut plus la tuer, il faut la garder, maintenant. »
Ainsi la peur de l’enfer, sauva l’enfant, mais il existe aussi des enfers sur terre….
Car la pauvre « Chouaspouneta » (*3) comme on l’appela, aurait peut être, en fin de compte, préféré le paradis des âmes innocentes à la vie au milieu des habitants de Despera.
Elle fut l’objet des moqueries et de la méchanceté des gens, on la faisait dormir l’été dans la niche du chien et l’hiver à côté de l’auge aux cochons, pour la nourrir, on mettait dans une auge par terre ce qu’avait laissé le chien ou le cochon, voire les poules. Ceux qui passaient le soir ou avant que le jour ne se lève, entendaient les longs sanglots de sa détresse dans sa solitude.
Mais chez ces gens-là ! On a de l’honneur, m’sieur dame, on ne se mêle pas des affaires des autres.
Le pire pour « Chouaspouneta« , était que les autres enfants la fuyaient, elle n’avait pas d’amis, la seule fois où heureuse, elle avait recueilli un loir qu’elle avait apprivoisé, elle eut le tort de le montrer à d’autres enfants. Ils lui arrachèrent le loir et le massacrèrent à coup de pied et à coup de pierre.
Un jour, un habitant du village, « Smountaco« , descendit vendre quelques peaux de renard, de lapin et de chèvre qu’il avait tanné, à la foire du canton.
Il en remonta avec un bouc , cinq chevrette et un petit garçon.
– « Aloura, mestre s’en reven de la fièra ? « (*4)
– « Ahi, ma sieu pas ségur, d’avé fach un bouon negoci « (*5)
Et il s’expliqua, bon il avait bien vendu ses peaux, et ça faisait un moment qu’il lorgnait pour s’acheter un nouveau bouc. Là-dessus, il était tombé sur un maquignon un peu gitan, qui lui avait dit : « Tapons là sur le prix du bouc, et je te fais cadeau des chèvres, si tu me débarrasse du gosse. »
Il avait bu plus qu’un coup , le prix du bouc était intéressant , les chèvres aussi mais qu’allait il faire du gosse.
« Tu pourra justement, t’en servir pour garder les chèvres et faire des brandes pour l’hiver. »
Lui répondit le maquignon.
C’est le long du chemin, que « Smountaco« , s’aperçu de la démarche du gosse, il boitait, marchait de guingois , et avait une bosse, un bras plus court que l’autre prolongé d’une main à trois doigt seulement. Bon, se dit-il, il sera toujours bon à garder les chèvres.
– « Aloura , pitchoun, couma ti souna ? » (*6)
Le gamin, le regarda tristement en secouant la tête de droite à gauche et en haussant les épaule.
– « Oh, accapes pas? seríes pas balourt o mut, tu ? » (*7)
– « Ma noun, audi e parli, ma sabi pas coume mi souna , moussu » (*8)
– « Aloura, te sounarai « Sabi pas« . (*9)
L’arrivée de « Sabi Pas« , changea la vie de « Chouaspouneta« , comme un boqueteau d’herbe dans le noir des roubines qui aurait donné naissance à un bouquet de violettes.
Moqués, chassés, martyrisés parfois par les autres enfants du village, ils forgèrent une solide amitié, une complicité qui leur permit de survivre.
« Sabi Pas » avait quatre année de plus que « Chouaspouneta« , et ce qui devait arriver arriva, l’amour se mit à voleter tout autour d’eux.
Lors d’une rare messe pour les morts que tint le curé, ils vinrent le voir.
– Mon père, nous voudrions nous marier.
– Mais vous êtes chrétiens et catholique au moins ?
« Chouaspouneta« , lui montra un petit crucifix : « C’est un ange qui me la donné, au moment ou la mort venait me prendre, je l’ai toujours gardé. »
Quant à « Sabi Pas« , il sorti du col de son tricot accroché à une chaine un médaillons figurant une madone : « C’est ma mère qui l’a passé autour de mon cou, avant de me jeter par la fenêtre, quand les gens ont mis le feu à notre roulotte. »
Le prêtre réfléchit: après tout recueillir au sein de la paroisse des âmes pures et innocentes faisait partie de son sacerdoce et du message du christ.
– « Je vais vous donner ma bénédiction mes enfants, mais je ne veux pas que cet acte reste clandestin, je veux que les gens le sache. Et vos parents sont-ils consentant ? »
Il regarda la tristesse de leur regard et dit : « Ai accapit, alors on se passera de leur consentement. Bon, vous n’avez pas d’anneau, on prendra de la ficelle, et pour les témoins les anges seront là, ce seront sans doutes les mêmes que la providence vous avait envoyé . »
Ainsi, le prêtre fit sonner les cloches, et les mariât.
Il fit résonner les cloches, lorsqu’ils ressortirent de l’église bras dessus, bras dessous.
Les gens peut habitués à une telle activité carillonnante, en curieux s’étaient massé au bas des marches de l’église. Dés qu’ils les aperçurent, ils se moquèrent, leurs jetèrent des épluchures.
– Oh que si vous faites des petits gardez moi en on les mettras dans une cage au cirque.
– Venez voir le mariage des monstres.
– La nuit de noce va être difficile, faudra un treuil pour les séparer. Tant qu’ils sont mal foutu.
– Les bosses vont s’entre choquer.
Ainsi sous les moqueries et les projectiles, « Sabi Pas » et « Chouaspouneta« , fuirent en courant vers la montagne et on ne les revit plus.
……..
Cinquante ans passèrent, il s’en passa des choses à Despera, une route y arrivait, et on avait érigé sur la place du village, un drôle de monument ou figurait des noms, en face, il y avait même une bâtisse neuve ou était marqué Mairie. Sur la place en face de l’église, on avait fait des travaux, il y avait un bar, auberge, restaurant, avec une terrasse sous une tonnelle.
Un couple de gens, plutôt âgés, mais alertes et élégants virent s’assoir à une table.
L’aubergiste, ravit d’avoir des clients, s’empressa de venir s’enquérir des commandes.
– Bonjour madame, bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous être agréable ??
– Ce sera un blanc cassis bien frais pour moi et une limonade citronnée pour ma femme.
Nous profitons de ce bel été mais cela donne soif.
A son retour, avec les consommations, l’aubergiste tenta d’engager la conversation :
– C’est la première fois que vous venez en excursion à Despera.
– Non, nous y avons même vécu, mais le village a bien changé depuis.
– Oui surtout depuis la route.
– Je me rappelle de quelques noms, Firmin, le fils du moulin, Albert de la ferme haute, Henri de la rue basse. Que sont il devenus ?
– Ils sont au monument au mort chère madame, la guerre, vingt cinq garçons de Despera n’en sont pas revenus.
– Et la maison des Ginola, elle est toujours là ?
– Oui, bien sûr, mais entre l’exode rural et la guerre, elle est aujourd’hui abandonnée.
Mais dites moi, c’est vrai que vous semblez bien connaitre le village et les habitants, c’est quoi votre nom.
– Notre nom ne vous dira rien , mais le sobriquet dont on nous affublait peut être, on m’appelait « Sabi Pas » et mon épouse avait droit au diminutif de « Chouaspouneta« .
L’aubergiste les regarda comme des fantômes.
Et « Chouaspouneta » rajouta : « Nous allons faire un tour dans les environs du village, serait il possible de déjeuner à midi, midi et demi chez vous en terrasse ? ».
– Bien, sûr, bien sûr, marmonna décontenancé l’aubergiste.
A midi est demi, la place devant la terrasse de l’auberge était pleine de monde, « Chouaspouneta » et « Sabi Pas« , s’assirent à la table que leur avait richement préparée l’aubergiste. Si le public les dévisageait, eux en faisaient de même, et sinon un air de famille commun, un regard misérable de méchanceté congénitale, ils avaient tous un point commun. D’affreuses rides qui telles des cicatrices leur barraient le visage ou s’accrochaient des verrues grosses et difformes , des bouches édentée, des chevelures scalpées par des plaques de calvitie, des corps rongés par l’arthrose et les rhumatismes qui les torsadaient et leur donnait un air de vieux pantins misérables.
Alors que malgré leur abondance chevelure blanche, au contraire, « Chouaspouneta » et « Sabi Pas« , resplendissaient de beauté comme s’ils avaient eu tout au plus une trentaine d’années.
On dit même que lorsqu’il moururent lié par un pacte d’amour à 90 ans, on aurait dit deux adolescents d’une beauté comparable à celle des statue grecques de l’antiquité.
Et bien oui, roulés dans la méchanceté, ils avaient fait comme les pierres de la montagne, ces pierres sans forme et pleines de reliefs brisants qui, roulées dans le torrent, était devenues des galets, de ceux si lisses et si beaux qu’on les ramasse parfois pour les mettre dans la crèche de Noël. »
(*1) « Despera »: Le désespoir.
(*2) la couvade : Coutume qui veut que le mari ou le père, réunisse quelques amis, et qu’au bout de nombreuses libations, mime la délivrance.
(*3) « Chouaspouneta » : petite souillon.
(*4) « Aloura, mestre s’en reven de la fièra ? » Alors , maître, on s’en revient de la foire ?
(*5) « Aloura , pitchoun, couma te souna ? » Alors petit comment tu t’appelles ?
(*6) « Ahi, ma sieu pas ségur, d’avé fach un bouon negoci »: Oui, mais je ne suis pas sur d’avoir fait une bonne affaire.
(*7) « Oh, accapes pas, seríes pas balourt o mut, tu ?« : Oh, tu ne comprends pas, tu ne serais pas sourd ou muet ?
(*8) « Ma noun, audi e parli, ma sabi pas coume mi souna , moussu« : Mais, non, j’entends et je parles, mais je ne sais pas comment je m’appelle, monsieur.
(*9) « Aloura, ti sounaras « Sabi pas« . « : Alors, tu t’appelleras « Je sais pas ».
La morale de cette histoire: si vous êtes « nissart » et que les français vous regardent de haut d’un air méprisant, laissez dire et laissez faire, le temps travaille pour nous. Après cette belle histoire, je vous souhaites à tous: « Bouòni Calèna »
Texte écrit par Barbajohan
@+ Pat
tes images sont très jolies, surtout celle des chats!! passe un bon Noël avec ton petit fils j'espère...plein de bisous à vous.
Merci a vous, j'espère que vous avez du soleil a Bordeaux. Bisous nous vous souhaitons un super réveillon de NOËL a vous quatre
Bonsoir les amoureux,
Je ne vous oublie pas, j'ai enfin eu mon PC hier soir, ce matin, il y avait déjà un couac, j'ai appuyé où il ne fallait pas, c'est Michel qui a trouvé, il m'a dit, que j'étais pire qu'un gosse de 5 ans, je n'ai pas pu prendre le PC au bureau, je râlais, j'avais peur qu'il ne fonctionne plus, ouf, Michel a vu ce que j'avais fait, Thibaud vient demain, il n'aurait pas été content, il m'a dit que je disais oui à tout ce qui ne faut pas, maintenant, je fais attention ! Tout ce qui passe, je dit oui, je fous en l'air tout le bazar !
En ce moment je collectionne les couacs !
Bref, contente d'être avec vous.
J'espère que tout va bien chez vous.
Merci pour ce joli billet.
Moi, je passerai demain, c'est Michel qui fait à manger, je sais, j'ai marié le meilleur !
Avec Cricri bien sûr.
Je vous souhaite tout le bonheur du monde, un beau réveillon.
Je vous embrasse bien fort.
Je vous aime très fort.♥♥
Salut
Un noël pluvieux chez nous.
Le réveillon fut rapide vu qu'on est à deux.
Mais on reçoit aujourd'hui.
JOYEUX NOEL
Bonjour les amoureux,
Il y a dans l'air des odeurs de sapin, de pain d'épice , de cannelle et d'orange !
Je pense que c'est la magie de Noël qui inonde le monde !
Joyeux Noël et plein de petits bonheurs.
Gros bisous♥♥J'espère que vous avez passé un bon réveillon et une bonne journée de NOËL. Nous avons eux encore une belle journée ensoleillé. Bisous bonne soirée et bon week-end a vous quatre
Bonjour les amoureux,
Il fait toujours très doux !
Ce n'est pas un temps de Noël.
j'espère que vous avez passé une belle journée, que le Père Noël a été généreux, j'ai été très gâtée !C'est comme la pub, nous le valons bien !
Bon week-end, mille bisous.♥♥
Bonjour les amoureux,
Petit passage en douceur pour vous souhaiter
du fond du coeur un agréable dernier dimanche 2015.J'espère que 2016 sera une belle année, où le bonheur et la paix règneront !
Je vous embrasse comme je vous aime.♥♥
Bonjour les amoureux,
Ce sont les derniers jours de l'année, on se croirait au printemps !
Je suis en congé une semaine, ça me fera du bien.
J'espère que tout va bien.
Bonne semaine, bisous doux. ♥♥
Bonjour les amoureux,
Cette semaine c'est cool !
Je ne cours pas, je suis zen !
C'est avec plein de douceur que je vous souhaite un bon mardi.
Une ondée de bisous.♥♥
Ca du être dur de laisser les enfants a Bordeaux, mais vous avez du passer de bonnes fêtes de Noël tous les quatre, nous nous étions tous les deux et pour le réveillon du jour de l'An pareil comme ça on ne fait pas d'excès !!! C'est sur qu'il devait y avoir du monde sur les routes, heureusement que le temps n'est pas trop mauvais. Bisous bonne soirée et bon mercredi a vous deux ainsi qu'aux Bordelais
Bonjour les amoureux
Nous voilà en fin d'année, j'espère que 2016 sera meilleure.
A Bruxelles c'est de nouveau alerte aux terroristes, ça craint pour demain en ville.
Je reste chez moi, je croise les doigts !
J'espère que vous vous remettez du voyage.
Reposez-vous avant le grand jour !
Bonne journée, bisous doux à toute la famille.♥♥♥♥
Salut,
C'est super aujourd'hui il fait beau.
La douceur continue même si on perd un peu de degré.
Bonne journée
Je vais insérer ton blog sur dans le mien , mais pour t'écrire sur le tien et insérer une image, noloso ?? j'y arrive pas!! Merci pour ta venue de ce jour et ton joli Gif!! Bisous Fan
Encore moi, je n'arrive pas non plus à t'insérer sur mon blog!!bizarre, canalblog refuse !! Bisous Fan
Merci a vous pour vos voeux. Nous vous souhaitons une bonne fin d'Année 2015 un bon réveillon en amoureux. Bisous bonne soirée et bonne fin d'année a vous deux ainsi qu'aux Bordelais
Bon jeudi, les zamoureux !
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ೋ ❤❤❤ Bonne fin d'année 2015 ❤❤❤ ೋ
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♥ Bisoux ♥
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄ƷBonjour les amoureux,
Voilà le dernier jour de 2015.
Que nous réserve 2016, la même chose, nous aurons nos lots de joie et de peine, c'est la vie.
Ils ont annulé les fêtes à Bruxelles, menace d'attentat de nouveau.
On croise les doigts pour que la paix règne partout ce soir.
Bonne fin d'année, bon réveillon et mille bisous à toute la famille.♥♥♥♥
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J' essaierai de venir regarder vos commentaires ha ha ha .
Ainsi je verrai ceux qui me lisent ha ha ha , je rigole passez un bon moment sans moi et mes petites bêtises journalières .
Gros bisous marseillais .
Renée (mamiekéké).
j'ai lu ... un peu en retard mais bon, Noël en famille oblige hein lolll
je vous souhaite une très belle fin d'année, gros bisous